les 07 et 20 janvier, suivi de la consommation d’APIFONDA depuis l’installation du nouveau sachet le 18 décembre 2020.
20 janvier, je reprend contact avec le GDSA lot pour l’adhésion et la commande des traitements vétérinaires apicoles pour 2021. je bénéficie de 2 traitements gratuits. sur les conseils de Gaëlle, je commande des bandelettes d’APIVAR et 2 sachets d’APIGUARD Avant de faire un traitement anti-varroa d’hiver, Gaëlle me conseille de faire un comptage varroa journalier, sur 4 jours
21 janvier : 6 parasites 22 janvier: 0 parasite 23 janvier: 24 janvier
ce samedi 23 janvier est prévu le 1° stage en visioconférence, car le COVID est toujours actif; il nous interdit de nous retrouver physiquement.
le 28 septembre nous avons visité notre ruche et observé chacun des cadre.
Entre le 28 septembre et le 03 octobre j’ai procédé à un comptage du varroa. Cela consiste à disposer une plaque sous la ruche afin de recueillir les parasites éliminés par le traitement APIVAR. J’ai découpé la plaque en 54 zones afin de faciliter le comptage. 568 parasites ont été compté. Gaëlle Matura, informé a jugé que ce nombre démontrait l’efficacité du traitement.
octobre, la fraicheur et l’humidité s’installent. Il faut remplacer l’alimentation liquide par du solide. j’installe aussi une grille de fond de ruche pour éviter que les parasites, après êtres tombés ne puissent remonter dans la ruche.
le 28 octobre Clément m’a accompagné pour vérifier la consommation de l’APIFONDA par les abeilles.
Nouvelle visite le 22 novembre, pour retirer les 2 bandelettes d’APIVAR ( en places depuis 12 semaines) et suivre la consommation de glucose. Comme le montre cette photo les abeilles trouvent encore du pollen.
quelques photos du suivi de la consommation de l’PIFONDA.
le lundi 28 septembre Pascal est arrivé pour installer le matériel pour crépir les murs extérieur des hangars et de la grangette.
Mardi 29 le crépis coté chemin a été fait et mercredi 30 le crépis coté cour a été fait. Il a fallu terminer à la mains car la machine à crépir cet bouché à cause d’un mélange un peu trop épais.
La semaine dernière j’ai terminé la pose des poutres du plancher, le rebouchage des murs percés pour la pose des poutres, et le chevêtre pour la pose de l’escalier. J’ai aussi fait une pièce en zinc pour finir la partie de la toiture exposée à la pluie.
Prochaine étape: réaliser une poutre pour compenser les inégalités de l’entrai de la ferme. J’ai commencé à faire un gabarit avec un chevron
Aujourd’hui j’ai réceptionné le pistolet à crépir que j’ai commandé sur internet. Je m’en doutais il faut adapter les raccords pneumatiques.
Lorsque la récolte est mise en cuve, la fabrication du vin débute par la fermentation. Celle-ci se déclenche à 20° Celsius, or la température actuelle est de 14°. Cette étape doit démarrer dans les 3 à 4 jours qui suivent la vendange, sinon elle pourri. Donc on a pas le choix il faut chauffer la récolte. Mardi soir, Papa a installé le réchaud à gaz toute la nuit pour chauffer la vendange et déclencher la fermentation; c’est au dire que la vendange se met à « bouillir ».
Cet pendant cette phase qu’on peut ajouter le sucre pour augmenter artificiellement le taux de sucre et au final le degré du vin. Cette année on a ajouté 20 litres de sucre.
un peu d’explication et de règlementation sur la chaptalisation.
La chaptalisation consiste à ajouter du saccharose pour accroitre le degré alcoométrique du vin. l’enrichissement du moût vise à pallier une déficience pouvant être liée à de mauvaises conditions météorologiques ou à un niveau de rendements incompatible avec l’obtention d’un titre alcoolémique suffisant.
l’ajout de sucre est régie par le Règlement (CE) N° 479/2008. Notre département est situé dans la zone viticole européenne CI. Les Limites de l’enrichissement du degré alcoolique (en %) sont de +1,5 ° dans les années normales et de +2° pour les années exceptionnelles. Le titre alcoométrique total maximum est établi à 12,5°.
Enfin pendant la fermentation il faut « remuer » la vendange tous les jours. c’est à dire pomper le mou puis arroser la vendange par le haut. Enfin il faut aussi la mélanger par le haut afin de favoriser une fermentation homogène.
Les vendanges ont eu lieu le samedi 26 septembre sous un temps maussade et une température de 15°. Mercredi 30 au soir, papa à mis du chauffage dans le cave toute la nuit avec le réchaud à gaz, pour monter la température de la cave et amorcer la fermentation. Jeudi soir j’ai entendu un début de frémissement de la vendange. Papa à remis du chauffage vendredi matin. Pascal est passé dans l’après-midi et à confirmé que la fermentation avait démarrée.
La fermentation dure environ une semaine. En fait la fermentation transforme les sucres en alcool. Il faut donc surveiller le taux de sucre dans la vendange. jeudi 08 octobre: dans la cuve en Polyester la température de la vendange était de 26° et le taux de sucre de 1013, dans la cuve en Inox la température était de 24° et le taux de sucre de 1010. la fermentation se termine lorsque le taux de sucre est à 1000, soit une densité de 1. Le sucre est totalement transformé en alcool.
Pendant la fermentation il faut remonter le vin du bas de la cuve pour arroser le chapeau de marc qui se forme au-dessus de la vendange, Ainsi le mout va s’enrichir des matières (tannins, anthocyanes, etc.). lors de la fabrication du vin. Il faut remonter le vin toutes le 12h00. Donc tous les soirs vers 17h30 je suis descendu à Begoux pour cette opération. il faut remonter tout arrose le chapeau suffisamment mais sans excès. avant le remontage, j’ai aussi pratiqué le « pigeage » de la vendange. Cette technique ancienne consiste à casser la croute ou chapeau de vendange, c’est à dire pousser à l’aide d’un outil la croute vers le bas afin de la mouiller pour que réactiver régulièrement l’échange des matières et homogénéiser le mout.
Nous avons arrêté de remonter et piger la vendange samedi soir. car le taux de sucre est descendu à 1000 et la température à 20-21° dans les 2 cuves.
Dimanche repos pour le vendange.
Lundi 12 octobre: extraction du vin et pressage du marc. – Cuve en polyester: 13hl de vendange -> 700l de vin de goutte et 220l de vin de presse – Cuve en Inox: 20hl de vendange -> 1400l de vin de goutte et 200l de vin de presse.
33hl de vendange -> 25hl de vin soit un ration de 75%
le vin de presse plus tannique et moins acide n’est pas mélangé au vin de goutte car il faut qu’il décante.
Mardi 13 octobre: regroupement des 2 cuves de vin de goutte soit 2100l dans le garde vin de 2500l, nettoyage de la cave.
Petit incident avec le relevage du tracteur. le réseau hydraulique du relevage à cédé sous le poids des 3 cuves de marc installé sur la benne.
Cette année les vendanges se sont déroulées le samedi 26 septembre 2020. cependant, en raison du mauvais temps, nous avons commencé vendredi matin car, si une accalmie est prévue par la météo pour samedi matin, la pluie est prévue pour l’après-midi. Donc il est impératif que nous ayons fini samedi à midi.
Vendredi matin: vendange des 2 demi-rangs. et d’une rangé de cabernet. Dans le 2° demi-rang il y a surtout du chasselas et du muscat. Nous avons commencé à 09h30; Francis est arrivé puis Pierre et Marie-Alix nous ont rejoint plus tard et enfin Michel et Jean-Pierre sont venus compléter l’équipe des vendangeurs. Vendredi après-midi nous avons repris les vendanges avec les 3 autres rangs de cabernet et le rang de Jurançon. puis on a vendangé 2 rangs de jurançon à l’autre extrémité de la vigne, au bord du chemin de Francis. Nous avons vendangé ces 2 rangs pour équilibrer la récolte, tant en degré qu’en quantité. il reste donc non pas 8 mais 9 rangs pour demain samedi. malgré un peu de pluie au début de la matinée, nous avons eu une journée fraiche, boueuse mais sans pluie pendant les reste de la journée. Pour les 3 premiers rang je n’ai pas engagé le tracteur dans les rangs au risque de m’embourber. Mais dans l’après-midi j’ai engagé le tracteur. en montant dans le chemin. Vendredi nous avons récolté 10 hl de vendange. que nous avons vidé dans la cuve en inox.
Samedi, Rémi et Mathieu, arrivés dans la nuit avec Maël nous ont rejoints, Marie et son copain benoit, Maurice et Pascal Ficat, et Gilles Bos un voisin de Bégoux. Nous avons vendangés les 7 rangs d’auxerrois et les 2 rangs de jurançon en 3 heures et récoltés 13hl de vendanges que nous avons vidé dans la cuve en polyester.
paillon cuve polyester
paillon cuve inox
Papi vendange et cache Maurice Ficat
Jean-Pierre et Maël
Mathieu et Maurice
Francis et en second plan sa maison juste au-dessus de la vigne
Michel Cubayne
on vide les derniers sauts dans la benne
vidage de la benne dans la cuve
Pendant le remplissage des cuves nous avons ajouté du S02 (sulfite) à raison de 1/2 litre par hl de vendange pour éviter un début de fermentation avec les levures sauvages et l’oxydation de la récolte.
Avec l’aide d’un réfractomètre, nous avons mesuré le taux de sucre en pourcentage dans le mou récolté. avec un taux de 1094 et 1093, à 14° Celsius, ont obtient sur la table de correspondance le titre alcoolique potentiel. notre mou devrait produire un vin proche des 12° sans chaptalisation.
Au final la quantité attendue n’est pas au rendez-vous à cause d’un poussée d’oïdium et une sècheresse due à un manque de pluie en juillet.
Dimanche je suis redescendu à Bégoux pour faire le ratafia. dans un petit fut en chêne de 60l nous avons mélangé 18l de marc à 52° d’alcool et 42l de mou soit un dosage à 30%.
Lundi matin le chantier muret du Lundi a été interrompu par la pluie.
En début d’après-midi je suis descendu à Bégoux pour préparer le transfert du vin dans les barriques. De retour au mas de Coutal, Joëlle et moi avons posé la 3° poutre du plancher dans la grangette. On est rodé pou ce travail. On s’aide des tréteaux, ajustés à la hauteur de pose pour traverser le mur depuis l’extérieur, sur lesquels on pose la poutre. Ensuite on la fait glisser jusqu’à ce qu’elle entre dans son logement. Il faut maintenant faire du ciment pour reboucher les trous.+
mardi, Nous sommes descendus à Bégoux pour transférer le vin dans les barriques. Toujours compliquer de travailler dans le calme avec mon père. En voulant ramasser des pierres pour prépare le « paillon » il est tombé, ou plus exactement il a glissé sur l’herbe mouillée ( il a plu toute la journée)
La journées des « 1000 mains à la pâte » du 03 octobre prochain de prépare activement. 125 personnes sont inscrites à cette journée. On est un peu inquiet en raison des consignes COVID qui évoluent souvent. Pour le moment le lot est épargné par le reprise des cas.
Nous avons passé cette semaine au Courtiou, pour la réparation de la toiture de l’arrière cuisine. Nous sommes arrivés lundi soir et les travaux ont commencé dans le mardi matin par le démontage de la poutre vermoulue et cassée en plein milieu. En découvrant on s’est aperçu qu’il fallait changer les 2 poutres. Heureusement Alain a pu se procurer une 2° poutre. nous avons réduit la section des poutre en les diminuant de 120×270 à 120×220. sur 5m de long. On a décidé, Philippe, Alain et moi d’utiliser la tronçonneuse, mais au moment de se lancer, j’ai entendu Philippe dire, « qui se lance ? … » . Alain n’a pas réagit, j’ai donc, après un petit instant de flottement pris la tronçonneuse et je me suis lancé. je n’ai jamais utilisé la tronçonneuse pour ce type de travail, assez précis. Je savais qu’il ne faut jamais trancher une section en restant du même coté de la coupe, car les coupes ne sont jamais droite. Il faut marquer sur le recto et le verso d’un poutre et faire une passe de chaque coté pour espérer couper droit. Le résultat est en effet pas trop mal. En tout cas il a été validé. Si bien que pendant ma sieste de l’après midi de mercredi Alain a fiat la 2° poutre en procédant de la même façon.
Mercredi nous avons eu un peu de pluie. ça nous a donnée l’occasion de tester les bâches pour couvrir la toiture. Mais il a très peu plu ce jour là.
Je suis allé acheter 20 plaque de fibrociment et 4 plaques translucides.
Nous avons commencé la pose des fibro jeudi, après avoir fait u peu de ciment pour égaliser le mur coté rue.
Vendredi soir nous avons fini de poser les plaques. et mis hors d’eau la toiture. Heureusement car il a plu dans la journée.
Samedi les enfants (sauf Audrey qui travaille) sont arrivés ainsi que Claire et Richard, et le montage des tuiles à pu démarrer. Il s’est fini Dimanche avec la satisfaction du travail accompli.
Nous avons réduit la brèche intérieures en refixant les restes d’isolation, le plaques de polystyrène, et les baguettes de soutien.
aujourd’hui, j’ai entrepris un travail de nettoyage et déblaiement. J’ai enlevé le reste de pierre posées devant l’entrée de la grangette, j’ai transporté les lauzes en haut du camp de la simat, et j’ai fait 4 tours de remorque pour déplacer les anciennes tuiles de la grangette sur le stock du camp de Merle.
j’ai aussi acheté en promotion un plancher acier pour poser sur les tréteaux de maçon.
enfin en fin d’après-midi j’ai continué de passer le karcher sur les murs coté chemin du garage, de la grangette et de la grange, pour préparer le crépissage.
j’ai aussi appelé le menuisier Rodes pour lui demander de réaliser la porte cintrée. mais plutôt que 2 portes comme prévu lors de sa 1° visite, je lui ai demandé de faire le cintre fixe et 2 portes droites et plus courtes. Il a prévu de repasser pour mesurer le cintre de la porte.
Dans l’après-midi, le médecin infectiologue m’a appelé pour m’informer que tous les examens fait à Cahors sont négatifs. Ils ont prévu un scanner plus pointu qui est planifié à Toulouse le 16 septembre. En clair je comprend qu’ils ne peuvent plus rien faire; il n’a à nouveau plus de température, alors il va rentrer à Bégoux vendredi prochain. Avec ce nouveau scanner ils espèrent pouvoir trouver un virus atypique. Mais peut-être qu’il s’agit de quelque chose de plus grave, un cancer ? à suivre…
Ce matin Joëlle est allé chercher des prunes avec Martine LACAM, elle les a fait congelé pour faire des tartes cet hivers. De mon coté j’ai essayé de comprendre le branchement électrique du système d’eau de pluie, car depuis un mois environ il est stoppé à cause d’un pb que je n’arrive pas à détecter. j’ai changé les filtres et tenté une remise en route, et surprise ça remarche. j’ai donc remis le circuit d’eau de pluie en service, mais je ne connais pas l’origine de cette panne. c’est un peu frustrant.
C’est après-midi, je suis allé voir mon père à l’hôpital. Depuis quelques jours il a subit plusieurs examens (scanner, échographie, prise de sang). En début d’après-midi il a eu un prélèvement d’os et de moelle osseuse, car les précédents examens ne sont pas concluant. Il faudra attendre plusieurs jours pour avoir les résultats de ce dernier examen. Il est donc encore hospitalisé pour au moins une semaine. Le fait qu’on s’occupe de lui l’aide à patienter tant bien que mal. j’ai discuté avec lui des vendanges. Avant hier j’ai sortis 7 barriques pour les mettre à gonfler (en les remplissant d’eau) quelques jours. Aujourd’hui, j’ai sortis les 2 dernières pour les mettre à gonfler aussi. Elle serviront à stoker la récolte 2018 ( il reste encore 1500 l de vins)
Hier lundi on a fini la restauration de la 1° cabane du futur circuit des cabanes (Il y en a une quinzaine à restaurer.
le 27 aout nous avons retiré la hausse, et posé 2 bandelettes d’APIVAR pour lutter contre le varroa (parasite des abeilles). Elles resterons en place pendant 12 semaines. les bandelettes sont disposées entres les cadres à couvains, là ou résident la plupart des abeille. le traitement se fait par contact.
le 28 aout nous avons extrait le miel de la hausse et produit notre 1° pot de miel.